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Comment le Digital Learning élimine le stress des évaluations

Comment le Digital Learning
élimine le stress
des évaluations

Rayane EL BADRI
le 18/10/2022

Si les évaluations sont parfois nécessaires dans le Digital Learning, on peut néanmoins les adap

Développer votre formation digitale a été un jeu d’enfant, vous avez préparé du contenu de qualité et très engageant pour vos apprenants, vous êtes certain qu’ils vont l’apprécier mais… comment être sûr qu’ils ont bien retenu les notions que vous leur avez transmises ?

La réponse paraît évidente, il suffit de les évaluer !

En effet, évaluer vos apprenants est sans nul doute le meilleur moyen de vous assurer de leur compréhension de votre formation mais, il reste tout de même une question vitale à laquelle vous devez répondre : comment faire cela efficacement ?

Cette question vient par ailleurs rarement seule :
Comment s’assurer que l’on pose les bonnes questions ? Comment jauger correctement la difficulté ? Quels formats mettre en place ? Quel type d’évaluation correspond le plus à ma formation ? À mon audience ?

Et si on vous parlait de docimologie ?

Fort heureusement, l’univers de la pédagogie s’est longuement penché sur le sujet ; lorsque l’on cherche à étudier les évaluations et les processus et méthodes qui les entourent, on parle de docimologie !

Introduite en France par le psychologue pionnier Henri Piéron, en 1922, la docimologie vise à étudier les contrôles de connaissances qui sont pratiqués en conjonction d’une formation ou d’un processus pédagogique.

Henri Piéron

Cette science a soulevé de nombreuses questions dans les domaines de la pédagogie, de l’éducation et de la formation, conduisant à une longue liste d’innovations que vous avez sans doute rencontrées par le passé.

Si vous plonger dans cet univers, aussi passionnant soit-il, est un excellent moyen de remettre en question votre propre parcours éducatif, il est tout de même très pratique d’en tirer certaines bonnes idées que vous pouvez envisager pour vous assurer que votre projet de formation soit une réussite de bout en bout.

Contextualisez votre formation avec le Learning by Doing

Le docimologue australien, Michael Scriven, a établi en 1967 deux grandes catégories d’évaluations :

  • Les évaluations formatives qui servent à tester la progression des apprenants en cours de formation et à motiver la montée en compétences de ces derniers.
  • Les évaluations sommatives qui ont pour but de conclure un segment pédagogique et servent de bilan final sur les compétences des apprenants sur ledit segment.

Pour vos évaluations, vous pouvez aller plus loin en déployant un hybride de ces deux concepts !

Cet hybride, vous le mettez en place en proposant à vos apprenants de constituer, petit à petit et tout au long des modules de votre formation, un dossier qui se compose de la mise en œuvre des ressources qu’ils viennent de découvrir.

La valeur ajoutée de ce qui est présenté devient immédiatement claire pour vos apprenants lorsque vous leur faites résoudre des problèmes qui les invitent à mettre exergue leurs nouvelles compétences pendant qu’elles sont encore fraîches.

Partez de vos objectifs pédagogiques

Les évaluations ont autant de finalités que vous avez de besoins ; elles peuvent, pêle-mêle, servir à noter, former, observer ou encore cartographier une audience, permettre à vos apprenants de découvrir leurs niveaux ou de se positionner par rapport à un sujet.

Avant même de chercher le type d’évaluation qui s’adapte le mieux à votre formation, il nous faut reprendre votre cahier des charges pour y retrouver les objectifs établis pour le projet, en particulier les objectifs pédagogiques.

Chaque formation est différente et appliquer la même solution à chaque fois ne garantit pas les meilleurs résultats, au contraire, il n’est pas impossible de vous retrouver dans des situations où les rendements deviennent décroissants.

Veillez donc à ne pas considérer les évaluations sommatives comme une étape sine qua non si votre sujet ne s’y prête pas ou si vous n’avez pas de besoin absolu de vérifier la compréhension d’un élément.

Établir une base solide à vos attentes vous permet de viser juste lorsque vient le moment de prendre une décision sur vos formats et de concentrer vos ressources sur ce qui compte.
Vous n’êtes pas à l’abri de découvrir que, par exemple, votre formation ne requiert finalement pas de passer par la case notation.

Adaptez vos évaluations à votre audience

Comme il est de coutume dans la confection de votre parcours de formation, la première étape d’une telle réflexion est bien évidemment de partir de votre cible.

Il s’agit ici de faire preuve de cohérence par rapport au reste de votre formation, en évitant de surprendre ou de frustrer vos apprenants avec des formats auxquels ils ne s’attendent pas, sont surexposés ou ne sont tout simplement pas réceptifs.

Choix

En proposant des évaluations gamifiées à un public plus jeune, vous aurez sans doute plus de succès qu’en les questionnant en suivant un schéma plus scolaire, qu’ils ont tendance à rechigner.

Il est possible, et parfois même fortement recommandé, d’éviter l’utilisation des notes auprès de certaines audiences, on pense ici entre autres aux formations destinées à des cadres. Vous pouvez contourner cet obstacle en implémentant, par exemple, des paliers de score débloquant des médailles, trophées ou d’autres marqueurs de progression.

Votre cible est, et reste un facteur crucial dans l’établissement du type de pédagogie et d’évaluation que vous allez appliquer à votre formation, et la docimologie vous accompagne dans la prise de bonnes décisions en vous donnant des éléments de réponse.

Invitez vos apprenants à passer par l’auto-évaluation

Les évaluations vous permettent de cartographier les niveaux et courbes de progression de vos apprenants. De leur côté, vos apprenants s’en servent également pour jauger vos attentes et d’identifier leurs propres lacunes.

Il peut devenir particulièrement intéressant de directement demander à votre audience de s’auto-évaluer à plusieurs étapes de leurs apprentissages, cela aide notamment à mettre en valeur aux yeux de ces derniers leurs propres progressions.

Auto évaluation

En parallèle, vous développez chez vos apprenants l’habitude de prendre du recul sur leurs niveaux et de se questionner sur leurs capacités, à terme, ils pourront plus facilement mettre le doigt sur leurs lacunes, mais aussi gagner en confiance sur les points qu’ils maîtrisent.

Enfin, vous pouvez recueillir de précieuses informations venant directement de vos apprenants qui peuvent, entre autres, vous permettre d’améliorer leurs prochaines formations ou tout simplement de mieux répondre à leurs besoins tout au long de leurs parcours.

L'évaluation sans répétition

Il ne devrait pas vous surprendre qu’il ne soit pas réaliste de contrôler toutes les connaissances que vous déployez sur une formation, chaque apprenant assimile les informations différemment et chaque information n’a pas nécessairement le même poids dans la balance.

On trouve de nombreuses formations qui testent leurs apprenants à l’aide d’un unique set de questions, ce qui peut présenter un problème s’ils se contentent de retenir les bonnes réponses sans chercher à les comprendre.

Pour y pallier, une bonne pratique est de créer un panel de questions diverses dans lequel l’évaluation va piocher aléatoirement, vous assurant ainsi que chaque phase d’évaluation soit unique et que les réponses que l’on vous apporte soient représentatives du niveau réel des apprenants.
Cela permet également de vous assurer de tester équitablement les divers piliers de connaissance de votre formation digitale.

Évaluations aléatoires

L'évaluation à froid

Le graal d’une formation en entreprise est bien évidemment le fait que l’audience retienne durablement ce qu’elle a appris, c’est là que l’évaluation à froid entre en scène.

L’objectif est d’inviter vos apprenants à revenir sur ces notions quelques jours ou semaines après l’évaluation, ce qui est doublement intéressant pour votre schéma d’évaluation :

  • D’une part vous les invitez à revenir sur des apprentissages qu’ils n’ont peut-être pas mis en place, un excellent moyen d’ancrer solidement ces derniers
  • D’autre part vous faites un état des lieux de ce qui a été retenu et pouvez confortablement envisager la suite de votre plan de formation

Il reste tout de même une zone sur laquelle il faut faire preuve de vigilance : après suffisamment de temps, seulement les grandes lignes de ce qui nous est présenté nous revient facilement. Veillez à ne pas être trop exigeant ou prévoyez un bref rappel en début d’évaluation afin de gommer les sources de stress inutile.

MINIATURE-BRIEF

Le Brief Créatif, l’art de transmettre des idées

Le brief créatif
ou l’art de transmettre
des idées

Jean-François Poirier
le 01/03/2022

Cela fait un moment que vous y pensez, et aujourd’hui votre hiérarchie a enfin validé votre projet.

Il ne reste qu’à vous lancer, à l’expliquer à des agences pour voir enfin voir votre projet audiovisuel se réaliser.

Seulement voilà, on n’a pas tous la même imagination et on ne partage pas tous la même manière de penser. Parfois, entre les idées dans votre tête et ce qui a été compris par l’agence, il existe un fossé suffisamment profond pour que le projet qui en ressort soit totalement différent de ce à quoi vous aviez pensé.

Il n’en naîtra que de la frustration, et chaque étape sera un long chemin de croix dans lequel vous essaierez sans relâche de coller au mieux à ce que vous aviez imaginé, et où les autres acteurs se rattacheront à ce qu’ils ont compris.

Une solution existe

Pour éviter ça, il est primordial de penser dès le début la manière dont on explique notre projet audiovisuel. Surtout si on s’adresse à des acteurs extérieurs, comme des agences de communication, qui ne connaissent ni le contexte du projet, ni les besoins qu’il va combler. Il faut être clair et précis et, pour ce faire, nous allons établir ce qui s’appelle un brief créatif, un document de travail permettant aux équipes créatives d’avoir une vision globale ce que vous atttendez du projet, mais également de votre entreprise et de ses objectifs.

Rappelez-vous que plus un brief créatif est précis, plus facile sera le projet qui va en découler.

Cette précision permet à l’agence de comprendre vos envies, vos attentes et mêmes les idées et inspirations qui vous motivent.

Alors voilà un petit guide qui vous permettra de ne rien oublier lors de la rédaction de votre brief créatif ; en prime, on vous livre quelques astuces qui vous faciliteront la tâche, et même un exemple à télécharger en fin d’article.

Brief créatif : Les questions à se poser

À ce stade, vous avez probablement une ou deux questions qui trônent dans votre tête :

« Comment dois-je rédiger le brief ? Quelles informations mettre dedans ? »

Pour répondre à ces questions, il va falloir laisser parler le vieux sage qui est en vous. Inspirez profondément, et écoutez la voix dans votre tête qui vous dit :

« Si c’est évident, c’est évident qu’il faut l’expliquer… »

Eh oui, n’oubliez pas que nous ne sommes pas dans votre tête, ce qui est évident pour vous l’est du fait de vos expériences, vos travaux et votre environnement.

Mais personne en dehors de vous n’a eu le même parcours, l’évidence se transforme rapidement en énorme tare pour les autres qui essaient de se mettre à votre place.

Pour leur faciliter la tâche, voici une liste de questions à se poser qui formeront le plan de votre brief. Nous détaillerons par la suite chacune de ces parties.

Visuel-A

Vous avez remarqué ? On répond à la question initiale en posant d’autres questions, pas de panique, c’est volontaire.

Ces questions vous permettront de constituer la fiche d’identité de votre projet, tout autant que son contenu. L’astuce ici, c’est la précision, plus les informations seront précises, plus l’agence arrivera à cerner le projet et l’univers du client.

N’oubliez pas que l’agence va consulter à répétition ce document, le chérir dans les moments difficiles, il lui servira de guide et d’inspiration.  Et pour cause, ce brief va regrouper les messages clés, les attentes clés, les exigences créatives clés, et bien d’autres repères que l’on pourrait perdre de vue à mesure que le projet avance.

Ce brief en sera le trousseau, auquel on reviendra sans cesse.

Et pour poursuivre dans la métaphore, détaillons sans plus attendre ces questions qui feront sauter les verrous de l’incompréhension :

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Qui sommes-nous ?

Il ne s’agit pas ici de simplement écrire le nom de votre entreprise mais d’énoncer tout ce qui en constitue l’identité.

Votre secteur d’activité, votre mission, vos valeurs, votre positionnement, vos concurrents aussi et ce qui vous différencie d’eux, les produits que vous vendez par exemple et même, pourquoi pas, ce qui vous rend fier.

On recherche du détail et de la précision.

Vous avez une charte graphique ? Éditoriale ? Des lignes directrices ? Précisez-le ici !

L’idée avant tout, c’est de permettre aux créatifs de s’imprégner de votre ADN et que cette essence soit le moteur qui fasse avancer la machine. N’hésitez donc pas à leur fournir un maximum d’informations, même celles que vous ne jugez pas spécifiquement utiles au projet. Cela facilitera l’absorption du projet par l’agence pour mieux comprendre le besoin, dresser le tableau général, la « big picture » comme le disent nos amis outre-Atlantique.

Pourquoi est-ce important ? Le prestataire doit avoir un maximum d’informations pour proposer une solution en parfaite adéquation avec la stratégie de votre entreprise et sa culture.

Une autre chose qui a son importance : pensez à noter les interlocuteurs du projet, en différenciant les personnes qui seront en contact direct avec votre prestataire de ceux qui valideront les différentes étapes. Cela fluidifiera la communication en donnant à l’agence une meilleure compréhension des différents acteurs du projet.

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Quel est notre problème et comment le résoudre ?

On arrive ici un peu plus dans le vif du sujet et le tableau général commence à prendre en volume et en profondeur.

Dans cette partie, vous devez décrire pourquoi un tel projet doit exister et quel(s) besoin(s) spécifique(s) le motive.

Rappelez-vous que si la cible est prête à dépenser de l’argent, c’est qu’elle souhaite résoudre ce problème, les agences que vous contacterez doivent également en être informées.

Afin de quelque peu clarifier la chose, il faut écrire dans le brief une problématique précise propre à votre projet.

Rien qu’à l’emploi de ce mot, « PROBLÉMATIQUE », vos restes du lycée vous remontent probablement déjà en tête, mais pas de panique, on ne vous demande pas ici une dissertation complète en 3 axes, thèse antithèse, synthèse ; ce qu’il faut, c’est une description concrète et concise de votre problème.

Par exemple :

« Nous disposons de plusieurs centres de formation techniques qui forment les futurs techniciens qualifiés de notre entreprise. Pour des raisons budgétaires l’un de ces centres va fermer ses portes. Nous ne souhaitons pas perdre cet enseignement et souhaitons convertir cette formation présentielle en formation distancielle, grâce aux outils vidéo et web. »

 

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À qui souhaite-t-on s’adresser ?

Bien entendu, le message doit s’adapter à sa cible. Pour une agence, il est primordial de définir précisément cette cible. 

Peut-on définir ses caractéristiques ? Ses besoins ? Ses attentes ou es freins ? Ses habitudes ? Quels problèmes peut-elle peut rencontrer ? Peut-on identifier des centres d’intérêts ?
Quelles sont les valeurs qui reflètent le plus votre cible ? Quelle perception a-t-elle de votre entreprise ? Quelle image souhaitez-vous refléter ? Quelle sera sa réaction au moment de recevoir le message ?

Encore une fois, il s’agit ici d’avoir un maximum de détails pour avoir une vue globale. Soyez précis.

Si l’envie de définir votre cible comme « le grand public » ou encore « au plus grand nombre » peut être forte, on vous coupe tout de suite, il est impossible de plaire à tout le monde. Vous devez choisir et, par conséquent, renoncer.

Dans le cas où vous ne savez pas, pas de soucis, vous pouvez par exemple, renseigner des informations sur l’âge, la zone géographique, les habitudes des personnes que vous voulez toucher.

Dans le cas où vous connaissez votre cible de longue date, elle peut par ailleurs avoir évolué, il faut donc décrire le plus justement ses nouvelles attentes. Comprendre le comportement actuel de votre cible permettra la réponse la plus adaptée à ses besoins.

De cet exercice difficile, pourra naitre le message et le ton que vous souhaitez leur transmettre.  

Groupe 104

Comment souhaite-t-on y parvenir ?

Ici on définit ce qui pourrait être les règles du jeu, le cadre de ce projet.

Mais avant de détailler plus amplement cette partie, il est important d’avoir en tête que le brief créatif, ce n’est pas un document générique, copié-collé d’une précédente opération. Un bon brief créatif exige de la réflexion et du temps et doit être unique à chaque projet. Un brief de qualité, sur lequel on a réfléchit sérieusement, entraine des recommandations de qualité. Un brief fait à la « va-vite » expose à des solutions toutes faites, sans forcément tenir compte de vos besoins réels, ni de ceux de votre audience.

Nous y reviendrons par la suite.

 

Quelles information fournir dans le brief créatif ?

Alors, que mettre dans cette question pour que votre brief créatif soit le plus informatif possible ?

  • Tout ce qui est d’ordre logistique, d’une part, comme le budget, le planning, les deadlines ou la chronologie, les ressources qui seront déployées. Notez également les livrables attendus, le processus de distribution du projet, les étapes à valider ; en bref, tout ce qui servira au bon déroulement du projet.
  • D’autre part on va décrire ici les spécificités techniques qui seront variables en fonction de votre contenu, par exemple dans le cas d’une vidéo, il est bon d’informer quelle en est sa durée, les formats de diffusion à prévoir, si le script est déjà créé ou s’il faut le préparer. Pensez aussi à noter si des musiques sont déjà choisies, s’il faut prévoir des voix-off ou encore des sous-titres, s’il existe des ressources internes déjà disponibles. Enfin, et surtout, si vous possédez une charte graphique à appliquer à ce projet.
  • On rajoutera une section d’inspiration, parfois de manière visuelle, parfois avec une liste de liens commentés, et parfois les deux, qui regroupera toutes les œuvres qui vont inspirer et dont vous souhaitez vous inspirer pour ce projet. Si vous souhaitez faire un projet qui met la part belle à ce que l’on voit, il est important de rendre cette section aussi visuelle que possible. Suivez nos astuces dans la deuxième partie de ce guide pour savoir comment faire.

Toutefois, il est important de rester réaliste dans sa demande et de garder en tête la fameux triangle « délais / qualité / coût ».

Le Brief créatif : Un savant mélange d'inspiration et de prise de décision

Avec le brief, vous l’avez compris, même s’il faut être clair et concis, il ne s’agit pas pour autant d’envoyer un texte d’une ligne qui résume vaguement le concept du projet.

Car non, le fait de deviner ce que le client souhaite ne fait pas partie du processus créatif, cela relève seulement de la chance. En effet, il ne faut pas croire qu’une bonne agence peut toujours partir d’une feuille blanche et user de son génie créatif. À l’inverse, les meilleurs d’entre-elles savent comment intégrer efficacement vos contraintes, qu’elles soient financières, techniques, graphiques ou de planning. Votre brief créatif leur donne un élan de départ dans la bonne direction.

Avec un brief plus précis, vous donnez aux créatifs tous les ingrédients qui leur permettront d’élaborer la recette parfaite pour votre projet.

 

Comme dans toute recette, il y a les ingrédients d’un côté, mais il y a aussi l’expertise des cuisiniers de l’autre.
Les questions que l’on s’est posées jusqu’ici peuvent être comparées à nos ingrédients. Reste encore à les incorporer dans la cuisine.

 

Constituer son brief créatif

Maintenant que l’on a tous les ingrédients, notre brief demande un peu de méthode pour qu’il soit complet. Voici donc quelques astuces pour faciliter son écriture. Vous trouverez par ailleur un modèle de brief à télécharger en fin d’article.

La première chose qu’il faut prendre en compte, c’est que le brief va refléter les idées de la marque, mais il n’y a rien de moins facile que décrire une idée. Gardez donc ces principes à l’esprit qui serviront de fil rouge pour les parties du brief qui demandent de la création :

« Make it Visual »

En français, on pourrait le traduire par « rendez-le visuel ».
Pourquoi ? Parce qu’une image vaut mille mots. Parce qu’il est souvent plus facile d’assimiler un concept qui se traduit visuellement.

Le deuxième grand principe, c’est celui du partage.

« Sharing is caring »

Oui encore une phrase qui sonne mieux en anglais. Un projet ne se fait pas seul, c’est un travail qui va impliquer un certain niveau de collaboration ; d’abord en interne, avec les diverses équipes que le projet appelle, mais aussi avec le prestataire externe lorsque l’on travaille avec des agences.

Nous verrons donc comment profiter pleinement de ces principes.

Make it Visual

Au-delà de la question de la forme, ce principe prend tout son sens quand on doit expliquer ce que l’on voit ou que l’on aimerait voir.

Il va surtout s’appliquer sur la section inspiration qui est la partie la plus visuelle de tout le brief. Voici donc quelques astuces pour ce principe :

Le moodboard

On parle ici un document qui permet d’assimiler en un regard ce vers quoi on aimerait bien diriger le projet ; le nom se traduit en « tableau d’humeur », il définit donc l’ambiance visuelle attendue dans le projet.

Le plus souvent, il s’agit un collage ou d’une succession d’images, couleurs et d’adjectifs ou verbes qui reflètent ce qui vous semble pertinent pour le projet.

Par exemple :

On peut voir en un coup d’œil que la première inspiration est totalement différente de la seconde, les deux projets aboutiront donc sur des aspects très différents.

La liste commentée

Moins illustrative qu’un moodboard mais très utile, surtout quand on évoque des vidéos, musiques ou d’autres sources d’inspiration qui ne sont pas simplement visuelles.
L’idée est de fournir une liste de liens, et de décrire pourquoi ils nous plaisent ou nous intéressent en termes de couleurs, de rythme, de ton, d’animation, de direction artistique…
L’exercice inverse marche encore mieux, on peut sélectionner des créations et décrire pourquoi ça ne fonctionnerait pas avec le projet et créer ainsi des directions à éviter. On y pense rarement mais il est plus souvent facile de définir ce que l’on ne veut pas plutôt que ce que l’on veut.

Sharing is caring

Lorsque vous communiquez votre brief en interne, assurez-vous de proposer une réunion de lancement pour le présenter en l’argumentant afin de pouvoir débattre des points de désaccord ou des contraintes. Ainsi, vous aurez le temps d’ajuster le brief créatif avant de l’implémenter. Gardez en tête qu’un brief peut toujours être modifié tant que le travail n’a pas débuté, c’est un document évolutif qui peut subir des changements selon les besoins.

Le brief créatif sert souvent de point de départ lorsque vous travaillez avec des agences. Plus il sera détaillé, fourni et argumenté, moins vous aurez de questions à répondre par la suite.

N’hésitez pas à intégrer des guidelines, contextualisations et recommandations ou toute information relative à la marque que l’agence doit garder en tête au cours de son travail.

Demandez leur avis, ils sont là pour vous aider, pas pour vous juger ! Veillez également à rester ouvert au débat voire au changement. Le brief est un document évolutif et, tant que le travail n’a pas débuté, vous devriez toujours pouvoir échanger sur et adapter votre brief.

Pour conclure sur le brief créatif

Les agences seront vos partenaires sur ce projet, faites leur confiance.  Elles ont l’avantage de travailler avec d’autres entreprises et ainsi ont l’habitude de manier des briefs créatifs régulièrement, elles savent certainement ce qu’elles ont besoin d’y retrouver.

Encore une fois, n’oubliez pas qu’un brief personnalisé entraine une recommandation et un livrable personnalisés.

En suivant ces conseils, vous serez moins intimidé et plus confiant lors de la création votre brief, nul doute que votre prochain projet sera accompagné d’un brief créatif efficace et élaboré sans stress !

Récupérez votre modèle de brief créatif gratuit

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    Boostez vos projets de formation grâce au motion design !

    Boostez vos projets de formation grâce au motion design !

    Rayane EL BADRI
    le 15/12/2021

    Qui n’a pas déjà souffert d’un cours qui n’en finit pas, d’une présentation à rallonge et particulièrement monotone ou d’interminables pavés de texte à lire afin de pouvoir avancer ? Rendre le contenu des formations digitales attractif est un enjeu central dans l’élaboration d’une stratégie de transformation digitale pertinente.

    Mais comment faire en sorte que ces formations captent durablement l’attention sans pour autant perdre en efficacité sur la pédagogie et la livraison des connaissances auprès des participant ?

    Chez WeUp Learning, nous avons conceptualisé une méthodologie qui sait répondre à cette question efficacement en utilisant notre atout clé : le motion design !

    C’est quoi le « motion design » ?

    Le motion design est l’art de mettre du graphisme en mouvement, confié à des mains expertes, il permet de donner vie à des concepts et idées abstraites en animant des formes, des couleurs, des photos ou encore de la typographie. À la frontière avec l’animation classique, le motion design a pour finalité de porter un message et de donner de la profondeur à des explications, des expositions, des présentations ou, dans notre cas, des formations.

    De plus en plus présents sur nos écrans, les animations en motion design offrent une plus-value indéniable : fluides, captivants, agréables à l’œil, très ouverts sur le plan créatif ; elles sont un excellent moyen de dynamiser tout contenu qui s’y prête.

    Malgré les apparences, la pratique n’en est pas à ses balbutiements puisque l’on peut, en quelque sorte, retracer son histoire jusqu’au XIXe siècle. Elle se popularise au fil du XXe siècle en peuplant pêle-mêle des films abstraits dans les années 20, des publicités télévisées dès les années 40 ou encore les génériques des productions hollywoodiennes dès le début des années 60.
    De nos jours on retrouve le motion design partout où des vidéos sont diffusées, des films à la TV en passant par les divertissements vidéoludiques ou encore des plateformes sociales comme Youtube.

    Partons donc explorer les raisons pour lesquelles l’association de la pédagogie et du motion design est un excellent moyen de propulser vos projets de formation digitale vers une tout autre dimension : la dimension WeUp.

    Les formations digitales peuvent aller plus loin !

    L’un des points clés de la réussite d’une formation est de manière indéniable l’engagement, c’est un marqueur crucial du succès d’une formation puisqu’il indique à quel point les apprenant s’investissent dans leurs parcours pédagogiques.

    Humaniser ces sessions de formation à l’aide d’un interlocuteur physique a été un tournant très intéressant dans l’augmentation de l’engagement. Lorsque l’on crée un lien social supplémentaire, l’apprenant ne suit pas simplement une formation mais écoute un expert qui partage ses connaissances et expériences. La prise de vue d’un formateur dans le cadre des formations digitales ne fait donc, aujourd’hui, plus l’ombre d’un doute sur son importance.

    Il reste tout de même parfois difficile de ne pas tomber dans une certaine monotonie quant à ce format qui dépend grandement de la capacité qu’a l’intervenant à capter l’attention de son audience et à fournir des explications claires.

    Ajouter de quoi maintenir l’apprenant concentré et investi dans son parcours de formation paraît donc essentiel pour pallier les possibles chutes d’attention qui surviennent naturellement lors des périodes d’apprentissage, en particulier au sein d’équipes qui n’assistent pas à des formations de manière régulière.

    Mais pourquoi allier Pédagogie et Motion Design ?

    Les apprentissages que l’on retrouve aujourd’hui au sein des entreprises se composent souvent d’un mélange complexe de concepts abstraits et d’idées parfois floues et difficiles à aborder. En schématisant ces idées nous pouvons de leur donner une forme plus palpable et de conceptualiser visuellement des informations, ouvrant la porte à ce que l’on appelle de l’ancrage mémoriel, un outil pédagogique puissant.

    L’assimilation en est facilitée et offre aux apprenants l’opportunité de s’accrocher plus aisément à ce qu’ils voient en associant des termes, des process, des définitions à des éléments visuels concrets. Le mouvement intrinsèque au motion design capte naturellement et durablement l’œil et, par la même, l’attention. 

    Que ce soit dans le cadre de l’E-Learning, du Blended Learning, du Micro-Learning ou encore des MOOC et COOC, l’inclusion de plusieurs segments animés produit des résultats impressionnants, tant sur les taux de complétion et de réussite des apprenants, que sur leur satisfaction vis-à-vis de l’expérience formative. Une formation digitale soigneusement préparée est synonyme de l’importance que vous portez à son contenu et résulte bien souvent en un engagement décuplé de la part des apprenants.

    Il faut tout de même faire attention à ne pas s’égarer dans le jeu de la créativité, l’abondance de contenus visuels qualitatifs présente le risque d’en devenir une distraction en bonne et due forme ; la forme ne doit surtout pas supplanter le contenu, maintenir ces deux éléments en équilibre est l’un des enjeux majeurs d’une formation digitale réussie. Il peut, en effet, parfois devenir facile de laisser l’envie de faire quelque chose de visuellement beau prendre le pas sur la lisibilité et l’impact pédagogique du parcours de l’apprenant mais l’inverse est également un risque à ne pas négliger.

    Le motion design comme catalyseur de l’engagement

    Animer du contenu ouvre une porte considérablement utile à vos formations, en effet, il devient possible de mettre en scène des contextes théoriquement irréalisables ou tout simplement trop onéreux ; les exemples vont d’hypothétiques accidents de travail à la modélisation détaillée de phénomènes microscopiques en passant par la mise en commun d’équipes aux emplois du temps incompatibles ou par les expériences physiquement impossibles.
    En se libérant ainsi de certaines contraintes, un nouvel horizon s’ouvre à vos contenus qui peuvent aller plus loin sur des plans narratifs, créatifs et surtout pédagogiques.

    Il est toutefois important de ne pas accorder trop de place au motion design, une bonne pratique à retenir est d’utiliser des prises de vues réelles autant que faire se peut, pour ensuite les habiller de contenus animés en motion design.

    Cela permet de soutenir le contenu vidéo par de la contextualisation en temps réel ; du texte peut, par exemple, venir souligner les mots-clés de l’intervenant, on peut également mettre en surbrillance des éléments du décor ou tout simplement animer des documents techniques et schémas en fonction de ce qui est dit.

     

    Le motion design, un incontournable de la formation Digitale

    Le motion design est une élaboration graphique, il s’agit d’un réel travail de création de contenu visuel, une façon par ailleurs très ludique de mettre en scène la charte graphique de votre organisation. Vos contenus formatifs deviennent un puissant allié de votre Branding, si vos contenus sont diffusés en externe, ou portent l’étendard de votre marque employeur dans le cadre de vos formations internes.

    Gamification, réalité augmentée, blended learning, jeux de rôles, toutes ces manières d’aborder le digital learning profitent amplement d’un habillage vivant ; ces contenus intrinsèquement immersifs s’imbriquent naturellement avec d’autres outils comme le storytelling pour former une expérience cohérente et mémorable à long terme.

    En parallèle, le processus de création de ces formations digitales génère une grande quantité de contenu audiovisuel qui peut par la suite être réutilisé dans le cadre de futurs projets de formation digitale, un gain de temps qui se combine à la perspective de garder une direction artistique unifiée sur l’ensemble des projets de formation.

    Conclusion

    En associant pédagogie et motion design, les formations digitales prennent un rôle clé au sein de la transformation digitale des entreprises. D’un simple outil de mise à niveau des équipes, elles évoluent en devenant moteur de l’engagement professionnel et de la digitalisation des services qu’une entreprise peut proposer.

    Plus interactives, plus captivantes, plus vivantes et plus digestes, les vidéos qui intègrent du motion design sont une évolution naturelle des processus de formation digitale et catalysent les contenus vidéos.

    Il s’agit d’un levier important dans la transformation digitale d’une entreprise.

    Ce qu’il faut retenir :

    • Le motion design est un support visuel qui permet de synthétiser des concepts complexes et abstraits de manière à les rendre agréables et digestes
    • Le motion design est un moyen très efficace de captiver une audience
    • On remarque une forte augmentation de l’engagement et de la satisfaction des apprenants grâce au motion design
    • Il permet de se délester de certaines contraintes qui rendraient certaines prises de vue en vidéo impossibles
    • C’est un très bon moyen de mettre en scène l’identité graphique de votre organisation
    • Attention tout de même à ne pas faire passer la forme avant le contenu ou à se perdre dans l’envie de créer quelque chose de beau aux dépens de l’efficacité de la formation.

    Chez WeUp Learning, nous avons pris bonne note du potentiel qui réside dans l’association du motion design et de la pédagogie, notre méthodologie d’élaboration de formations digitales intègre donc de bout en bout en ces deux éléments clés.

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    Storytelling – « Décupler l’implication de vos apprenants grâce au storytelling »

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    Décupler l'implication de vos apprenants grâce au storytelling

    En formation digitale, l’une des choses les plus importante est de parvenir à captiver l’attention des apprenants afin d’obtenir des taux de complétion les plus élevés possibles. Il est donc primordial de travailler sur leur implication ainsi que sur le déroulement des contenus de formation. Introduire un storytelling dans les scénarios va permettre de mener à bien cette mission, voyons en détails son utilisation.

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    Le storytelling, Kesako ?

    Commençons par le commencement, storytelling, ça veut dire quoi exactement ?

    Littéralement parlant, ce terme anglais signifie : « l’art de bien raconter des histoires ». Cependant, il ne suffit pas de raconter une simple histoire pour réussir votre formation. Le récit doit être en adéquation avec le thème abordé et surtout : faire passer un message et convaincre le public.

    Depuis la nuit des temps, les histoires captivent et attirent les êtres humains grâce aux émotions qu’elles véhiculent. Ce sont donc ces émotions que nous allons chercher à transmettre, afin de maximiser la compréhension et la mémorisation des nouvelles notions abordées dans les cours de la formation.

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    Le storytelling, d'où ça vient ?

    Cette technique de conviction par la narration tient ses origines du monde politique et surtout du marketing.

    Aujourd’hui largement démocratisée, de nombreuses marques et entreprises utilisent ce procédé à des fins commerciales. Son objectif principal est de déclencher l’attention et de développer l’affection du public envers un produit ou une marque.

    Ces dernières années, de nombreuses publicités ont utilisé cette pratique pour promouvoir de nouveaux produits. On peut prendre comme exemple les derniers films publicitaires de La Redoute, IKEA, ou encore Intermarché. L’astuce est simple : créer une situation réelle dans laquelle le consommateur se retrouve et se reconnaît grâce à l’émotion véhiculée !

    La méthode est assez similaire en politique, excepté au niveau du format. Alors que les messages et les émotions seront transmis par images dans la publicité, c’est par le discours que les femmes et les hommes politiques vont transmettre leurs idées. La finalité est cependant toujours la même, convaincre et marquer les esprits par un discours suscitant l’émotion et l’identification des internautes. On peut citer en exemple le président Emmanuel Macron, qui utilise son compte Twitter pour diffuser ses messages, impliquer et inclure son électorat.

    Le storytelling a prouvé son efficacité dans la communication politique et le marketing, il peut donc avoir sa place dans les méthodes d’apprentissage. Il suffit de bien l’utiliser sans perdre de vue l’objectif principal qu’est la formation.

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    Comment réaliser un bon storytelling pour votre formation ?

    Une formation est avant tout un parcours. En effet, plusieurs notions sont balayées à travers différents modules pour finir le plus souvent par une certification. C’est donc dans le déroulement du « parcours » que va intervenir le storytelling. Le but est de faire vivre une aventure marquante à l’apprenant.

    Il est essentiel avant de concevoir votre script d’étudier les besoins, les attentes et les profils des élèves, en définissant des personas (ou profils types d’apprenants). C’est grâce à cette étude que vous pourrez concevoir des modules pertinents.

    Voyons maintenant comment faire pour créer un récit qui marque vos étudiants :

    Dans un premier temps, il est très judicieux de créer un « héros incarnant » afin de contextualiser les thèmes abordés et de donner vie aux notions. Ce personnage va donner du rythme à l’histoire et susciter l’intérêt et la curiosité des apprenants.

    Ensuite, il est important de bien construire son récit selon 4 étapes :

    • Créer une situation initiale avec un environnement et un contexte. Cela peut être introduit par le personnage incarnant. Pour une formation de sensibilisation aux risques d’un métier par exemple, le héros peut faire un constat des problèmes rencontrés et donner les axes de résolution.
    • Introduire un élément déclencheur. Il permet d’accrocher les apprenants et de les tenir en haleine. L’objectif est de les pousser à avoir envie d’en savoir plus. Toujours dans un contexte de sensibilisation à certains risques, il est possible de montrer un accident au sein de l’entreprise.
    •  Présenter des éléments de résolution du problème. Ce sont les apprenants et eux seuls qui pourront mettre fin à l’élément perturbateur, en utilisant les pistes données dans le module. Le héro incarnant dressera une liste d’éléments de prévention et les illustrera avec des exemples concrets et des mises en situation.
    • Conclure par une situation finale en amenant l’auditoire vers la résolution du problème et ainsi obtenir son adhésion. L’objectif ici est d’amener l’apprenant à résoudre les problèmes de lui-même. Si il y parvient, cela veut dire que la formation aura été efficace.

    Suivre ces étapes vous permettra de développer un apprentissage et une assimilation plus rapide et surtout beaucoup plus durable pour vos élèves. Plus le sujet de formation est complexe, plus l’emploi du storytelling sera efficace !

    Enfin, il est conseillé d’adapter le contenu visuel des modules avec le storytelling choisi, afin de maximiser l’immersion et donc la mémorisation !

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    Les avantages pour la formation

    En formation digitale, le storytelling consiste à sortir l’étudiant de ses habitudes d’apprentissage pour créer chez lui de nouvelles références. On cherche à se différencier des contenus classiques pour créer quelque chose de nouveau, qui marque. L’histoire racontée doit être en lien avec les besoins, les attentes et les failles préalablement identifiées.

    Plusieurs études scientifiques prouvent que la mémorisation est plus importante lorsque des émotions sont impliquées. Les émotions peuvent être multiples, comme de l’amusement pour un sujet financier complexe, du challenge pour un travail d’équipe, ou encore de la compassion pour un sujet de sensibilisation.

    Le tout est de faire vivre une expérience marquante pour tous les apprenants.

    Vous l’avez compris, la narration est un levier conséquent pour renforcer l’efficacité de vos contenus de formation. Cependant, il ne suffit pas de raconter une belle histoire. La conception pédagogique se doit d’être étudiée et travaillée pour ne pas perdre de vue l’objectif principal : faire acquérir de nouvelles compétences à vos apprenants !

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    4 Grandes étapes pour organiser votre brainstorming

    4 grandes étapes pour organiser votre brainstorming

    Vous connaissez certainement le terme « brainstorming » et employez cette technique dans vos réflexions pour répondre aux problématiques rencontrées dans certains projets. Mais savez vous comment bien l’organiser ? Dans cet article, nous allons vous dévoiler les 4 grandes étapes importantes pour bien organiser son brainstorming et obtenir des résultats concluants et efficaces.

    Avant toutes choses, le terme « Brainstorming » se traduit en français par « remue-méninges », ce qui implique par définition qu’il faut se creuser un peu la tête pour aboutir à de bonnes idées et ainsi développer la créativité de votre projet
    Cette technique a été inventé dans les années 40 par Alex Osborn, un publicitaire Américain, et est toujours largement utilisée par les entreprises dans l’idéation de concepts. Le plan de cette exercice s’organise selon 4 grandes étapes.

    ÉTAPE 1 : Bien préparer l'échange du brainstorming

    La première chose à faire pour bien organiser la séance est de définir un animateur. L’objectif de ce dernier est de construire un groupe de travail productif et pertinent, avec des personnalités qui se complètent.
    Pour être efficace, le nombre de participants doit être compris entre 5 et 10 personnes. Elles doivent être ouvertes à la discussion, mais avoir des opinions et une vision contrastée des autres participants. C’est cette différence qui fera l’émulation de l’échange et permettra de trouver des idées innovantes et nouvelles. C’est pourquoi il est important de laisser toutes hiérarchies à la porte avant de débuter le processus. On pourra demander par exemple à des personnes du services comptabilité de réfléchir avec les créatifs de l’agence, qui pourront eux-mêmes échanger avec des employés du service Ressources Humaines.
    Il est important de comprendre qu’à ce stade, plus il y aura des personnalités différentes dans l’assemblée, plus il y aura de richesse dans les idées proposées.

    L’animateur doit ensuite choisir le matériel adéquat pour rassembler les idées, ainsi que la disposition de la salle où se tient l’échange. Cette étape peut paraître anodine mais est très importante pour aboutir à un bon brainstorming. Il ne faut pas négliger le cadre de réflexion, il permettra de mettre à l’aise les participants. Par exemple, la mise en place d’un Paper Board dans une salle ou chacun peut s’assoir en cercle pour s’écouter, donnera certainement plus de résultats qu’un brainstorming sur un bureau classique, sans support commun pour rassembler les idées.

    Dans cette même démarche de mettre à l’aise, il est important de définir une plage horaire pertinente pour les participants. Une réunion le mardi à 11h au sein de votre entreprise, sera certainement beaucoup plus efficace que le vendredi à 17h.

    ÉTAPE 2 : Mettre tout le monde d’accord sur le sujet

    Un conseil avant de commencer la séance d’échanges, il est primordial pour l’animateur de s’assurer que tout le monde soit d’accord avec la question ou le problème de départ. Tout le monde doit disposer des mêmes informations sur le problème traité et être en accord avec les sujets abordés. Il est alors nécessaire de fixer un cadre de recherche. C’est à dire définir le périmètre de réflexion, ainsi que le temps disponible pour effectuer cette réflexion. Comme vous le voyez, il gère également le management des équipes ! 

    ÉTAPE 3 : La phase de recherche d'idées

    C’est le cœur du Brainstorming, le moment où tout prend forme. C’est dans cette phase que l’animateur prend toute son importance. En effet, il coordonne les échanges et les réflexions de l’équipe.

    Dans un premier temps, il rappel les règles à respecter par les participants pour un échange productif et respectueux. Ces règles fondamentales sont :
    – de ne pas s’autocensurer
    – bannir la critique 
    – de maintenir un rythme de réflexion soutenu
    – de s’appuyer sur les idées des autres participants

    Mais il n’est pas le chef pour autant ! Il est important de créer un climat détendu et de confiance, qui va stimuler les participants. C’est pourquoi la hiérarchie est ici mise de côté.

    L’animateur a aussi un rôle de régulation dans le dialogue. Il peut, entre autre, stimuler les personnes introvertis, tout en veillant à ce que les participants les plus bavards et les plus présents ne s’emportent pas trop. C’est avant tout un travail d’écoute et de gestion. Il est chargé de noter chaque idées au fur et à mesure, en prenant soin de ne rien oublier. Il est d’ailleurs important que toutes les personnes conviées participent afin d’obtenir le plus de résultats possibles.

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    ÉTAPE 4 : Classer et retenir les bonnes idées

    C’est dans cette dernière étape que les pistes de réflexion sont retenues ou non. Pour définir une liste propre et précise d’idées, il faut :
    – les regrouper par analogie pour obtenir des «métas idées»
    – supprimer ou modifier les doublons
    – éliminer les idées les plus farfelues

    On définit ensuite des critères d’appréciation, un outil mis en place pour choisir quelles pistes sont les plus pertinentes à explorer.
    A cette étape, les équipes ont de véritables idées et solutions pour répondre à leurs projets et leurs problèmes.

    En fin de brainstorming, il est primordial de bien débriefer avec son équipe et de s’assurer que tous les participants aient bien compris les points retenues. Ce processus doit servir à tout le monde, c’est pourquoi cette étape doit être réalisée avec soin.

    Pour finir, il y’a certaines choses que vous devez absolument éviter pour réaliser une session de brainstorming de qualité :

    Critiquer l’avis des autres (chacun se doit d’être le plus ouvert d’esprit et respectueux possible).

    – Eliminer dès le début les idées farfelues (elles sont souvent à l’origine de réelles innovations)

    Travailler sur des problématiques trop larges (l’échange manquera d’efficacité et le temps défini sera sûrement trop court pour traiter le sujet de manière optimale).

    Une fois que vous avez assimilé tous ces points, vous êtes en mesure de réussir un brainstorming efficace et productif, qui vous donnera de la matière pour travailler et innover sur vos projets.

    MINIATURE-LEXIQUE

    Le lexique du Digital Learning

    Lexique de la formation en ligne
    1ère partie

    SCORM, MOOC, COOC, Mobile Learning… Le monde de la formation digitale est rempli d’acronymes et d’anglicismes, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’est pas toujours facile de s’y retrouver! D’autant plus que ces termes sont apparus au fur et à mesure, à différents endroits, et ont été créés par des personnes différentes, sans logique globale… Il en résulte une absence de nomenclature claire qui rend l’écosystème de la formation digitale opaque et difficile d’accès pour les acteurs extérieurs.

    L’objectif de ces articles est donc de mieux comprendre ce qu’il y a derrière ces termes et ce qui les différencie. Et pour cela, on va séparer l’ensemble de ces termes en 3 catégories : les plateformes, les parcours de formation et les contenus.

    Les plateformes LMS

    LMS signifie Learning Management System, soit en Français un système de gestion de l’apprentissage. Il s’agit d’un type de logiciel qui est pensé pour accompagner et gérer un processus d’apprentissage. Concrètement, il va s’agir d’une plateforme accessible via internet, sur laquelle on peut déposer du contenu de formation. Pour y accéder, les apprenants vont devoir créer un compte, ce qui signifie que le LMS est capable de gérer des inscriptions et de garder des données par profil d’utilisateur. L’avantage ? Cela permet de suivre la progression d’un apprenant en particulier, de connaître les exercices qu’il a réussi ou raté, ou encore de connaître le temps passé sur un cours.

     

    Un LMS est donc la première étape indispensable si vous souhaitez déployer des formations en ligne ; il sera l’hébergeur sur lequel vous allez concevoir vos parcours de formation.

    Les parcours de formation

    Maintenant que nous en savons un peu plus sur les plateformes, intéressons-nous aux différents parcours de formation que l’on peut concevoir dessus.

    Qu’est-ce qu’un MOOC, un COOC et un SPOC ?

    Un MOOC est un Massive Open Online Course, autrement dit, un cours en ligne ouvert à tous, pensé pour un public large. Il s’agit généralement de formations qui s’étalent sur plusieurs semaines, dans lesquels les apprenants vont consulter différents types de contenus (vidéos, texte, schémas, quiz, etc.). Les MOOC sont souvent certifiants, c’est-à-dire qu’ils permettent à ceux qui les suivent d’obtenir une certification.

    Un COOC quant à lui, est un Corporate Open Online Course, soit un cours en ligne dispensé par une entreprise auprès de ses salariés ou de ses clients. La seule différence avec un MOOC est qu’il ne s’adresse pas au grand public mais à une cible plus spécifique, bien qu’il ne ferme pas ses portes au tout venant.

    Un SPOC enfin, est un Small Private Online Course, soit un petit cours privé en ligne. Un SPOC est lui aussi une formation dispensée par une entreprise mais qui s’adresse cette fois à un petit nombre de personne avec un nombre d’accès limité.

    Une des particularités de ce type de parcours de formation est qu’ils n’imposent généralement pas d’ordre dans la consultation des ressources. Ainsi, les MOOC peuvent parfois ressembler à des « bibliothèques » dans laquelle les apprenants iront piocher les informations dont ils ont besoin. Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de début ou de fin ; les concepteurs structurent bien évidemment l’ensemble des contenus pour qu’il y ait une progression. En revanche, si un apprenant préfère consulter une section avant une autre, il en a la possibilité.

    Ce qu’il faut retenir, c’est que les MOOC et consorts sont des types de parcours de formation qui sont définis par leurs cibles plutôt que par le format de leurs contenus, et qui permettent à l’apprenant une grande liberté dans la consultation des cours.

    E-learning, SCORM et serious games

    Les E-learning sont un autre type de parcours de formation, historiquement plus ancien que les MOOC. La caractéristique principale d’un e-learning est d’intégrer l’ensemble des contenus dans un parcours immersif et interactif. Vous pouvez imaginer un E-learning comme une présentation Powerpoint animée et interactive, dans laquelle l’utilisateur navigue à son rythme.

    Généralement, la complétion d’un E-learning prend entre 20 et 30 min. Si votre formation est plus longue, il est recommandé de la découper en plusieurs E-learning de 30 min maximum chacun. En effet, le E-learning est un format immersif, ce qui signifie qu’il est pensé pour être fait d’une traite (même s’il est techniquement possible d’en sortir et d’y revenir). La navigation y est beaucoup moins libre que dans un MOOC, ou tout est accessible en permanence.

    Enfin, les Serious Games désignent une certaine catégorie de E-learning, qui ont la particularité… d’être des jeux ! Des jeux, certes, mais des jeux sérieux, dont l’objectif est de faire apprendre quelque chose à vos apprenants à travers une immersion ludique. Les Serious Games vont pousser encore plus loin la gamification, l’immersion et l’interactivité que les E-learning. Dans ces parcours, il n’est pas rare d’incarner un personnage, comme dans un jeu vidéo, et d’accomplir des missions tout au long d’une histoire. Ces différentes missions sont l’occasion de délivrer du contenu de formation, et leur accomplissement fait office d’évaluation.

    Conclusion

    A ce stade, nous avons vu que les LMS sont des plateformes de formation et que ces plateformes sont la première brique de vos projets de formations. Sur ces plateformes, vous allez pouvoir concevoir des parcours de formation en utilisant différents outils. Selon les formats de vos contenus et selon le public visé, nous parlerons alors de MOOC, COOC, E-learning ou encore Serious Games.

    Dans la suite de l’article, nous ferons le tour de tous les formats de contenus possibles, et nous verrons ensemble comment en tirer le meilleur parti pour créer une formation adaptée à vos objectifs pédagogiques et à vos apprenants.

    Formation digitale VS présentiel

    Formation digitale VS présentiel : Quel format choisir ?

    En matière d’apprentissage, comme dans bien d’autres domaines, il est primordial d’avoir à l’esprit que ce n’est pas à l’apprenant de se conformer aux contraintes du format choisi, mais bel et bien le format qui doit être choisi parce qu’adapté aux besoins de l’apprenant. Il est donc nécessaire d’analyser les besoins de l’apprenant afin de le placer au cœur du dispositif. Dans cet article, nous allons vous aider à choisir la solution qui sera la plus pertinente pour former vos apprenants entre formation digitale vs présentiel.

    Les avantages et les inconvénients de la formation en présentiel

    Les avantages du présentiel

    Commençons avec les avantages : se former en présentiel permet de disposer d’une organisation et d’un encadrement prédéfinis avec des objectifs de départ et des résultats de fin. Le présentiel se déroule avec un formateur, ce qui est généralement rassurant pour l’apprenant.

    Il dispose ainsi d’un accompagnement durant sa formation. Ses besoins peuvent être comblés en direct, tout de suite, au moment où il en a besoin. Le formateur peut s’adapter en temps réel, c’est-à-dire qu’il pourra reprendre une notion, apporter davantage d’explications. L’apprenant quant à lui pourra rebondir et poser des questions. Par ailleurs, les personnes ayant en particulier des difficultés à se former de manière autonome pourront trouver plus optimale une formation en présentiel.

    Il existe d’autres avantages à la formation présentielle comme la possibilité de capter l’attention, de créer une émulation, de personnaliser la formation aux différents apprenants, de travailler en groupe. Ces différents avantages ne seront pas davantage détaillés car ils n’appartiennent pas, à mon sens exclusivement au présentiel, comme nous le verrons plus tard.

    En revanche, il y a un dernier avantage qui est un véritable atout, beaucoup plus challengeant à transposer dans une modalité distanciel : L’apprentissage sollicitant l’acquisition de gestes techniques et de manipulations de matériels spécifiques, en d’autres termes les travaux pratiques.

    Les inconvénients du présentiel

    Passons en revue maintenant les inconvénients du présentiel. Il s’impose dans un temps définit et fixé, ainsi, si pour une raison fâcheuse, cela doit en être autrement, la formation est manquée par l’apprenant. Logistiquement difficile à rattraper.

    Autre inconvénient, les coûts associés : déplacement, hébergement, restauration, mise à disposition d’un espace de formation, tant pour les apprenants que pour les formateurs. C’est un argument qui peut peser lourd dans la balance selon le volume d’apprenants à former, et/ou de sessions de formations à prévoir. L’argument du coût de la formation présentielle ne doit pas être ce qui nous fait évincer ce choix de dispositif, mais il est nécessaire de comparer l’ensemble des avantages et des inconvénients pour s’assurer de la pertinence du format choisi.

    Autre inconvénient possible, le piège de la formation descendante. Le formateur abonde l’apprenant d’un flot de contenus tout au long d’une journée, voire de plusieurs journées de formation qui peuvent être très longues pour l’apprenant, qui restera bien souvent trop longtemps passif.

    Enfin, il y a aussi la nécessité pour le formateur de faire consensus en proposant un contenu à la portée de tous les apprenants, au risque que certains questionnent l’utilité de certains points de la formation parce qu’ils en auraient déjà connaissance.

    Les avantages et les inconvénients de la formation digitale

    Les avantages de la formation en ligne

    Abordons maintenant les avantages des formats distanciels. Premier avantage, il existe une multitude de formats : le Rapid Learning, le E-learning, les MOOC et autres COOC et SPOC. Mais aussi des formats hybrides comme la classe virtuelle ou le Blended Learning. Ce qui m’amène au point suivant : la formation en distanciel permet de s’adapter. S’adapter aux besoins des apprenants et à leur niveau de connaissance initial. La formation en ligne permet d’assurer une expérience d’apprentissage plus adaptée à chaque apprenant. L’apprenant est acteur de son apprentissage et peut avancer à son rythme ou encore revoir du contenu qu’il n’a pas compris. Autre avantage ; il est disponible au bon moment, il s’adapte donc aux disponibilités des personnes à former en évinçant bon nombre de questions logistiques que l’on retrouve en présentiel. « Selon une étude menée en France en 2015, les entreprises ayant adopté des solutions de formations e-learning peuvent répondre aux besoins de formation de leurs collaborateurs 2 à 3 fois plus rapidement que celles qui proposent uniquement des formations en présentiel. »*

    Les inconvénients de la formation en ligne

    Mais le distanciel a lui aussi ses inconvénients. La formation distancielle peut perdre le côté rassurant d’être accompagné par un formateur, puisque dans certains formats, personne n’est disponible pour échanger. Le distanciel peut encore souffrir de l’idée que l’apprenant est seul face à ses difficultés. Ce qui me permet de rebondir sur un autre inconvénient du distanciel, si tant est que ça en soit un, car c’est davantage une condition de sa réussite : la formation distancielle doit être bien conçue

    Pourquoi ? Contrairement à une formation en présentiel, si certains points ne sont pas bien exécutés, le formateur aura la marge de manœuvre pour rectifier en direct, ou proposer autre chose. En distanciel, cela est beaucoup plus compliqué à faire.

    Enfin, le dernier inconvénient majeur du distanciel est ce qui ne pourra jamais être pris au présentiel : certains apprentissages nécessitent des mises en situations, des travaux manuels, l’acquisition de gestes et la maîtrise d’outils. Il n’est donc pas rare pour ce type de besoins d’opter pour un format présentiel ou hybride. Dans un format hybride ou encore Blended, ou mixte, l’apprenant va par exemple dans un premier temps apprendre des contenus théoriques avec un format Rapid ou e-learning en autonomie ; un second temps d’apprentissage sera dédié à un temps présentiel de mise en pratique et de questions au formateur.

    Formation digitale vs présentiel : le besoin de vos apprenants est la clé !

    En résumé, que vous choisissiez la formation en présentiel ou la formation digitale, le plus important est de réaliser une analyse des besoins de formation très précise. Cela vous permettra de vous entourer de l’expertise adéquate.

    Si vous optez pour le présentiel, il faudra vous assurer d’avoir le budget nécessaire, la capacité d’organisation, et d’excellents formateurs capables de faire une vivre une expérience active à vos apprenants.

    Si vous optez pour le distanciel, il faudra là aussi vous assurer de vous entourer des professionnels adéquats : chefs de projets Digital Learning, ingénieurs pédagogiques qui vont accompagneront dans la définition des besoins et la réalisation de la conception. Et enfin des supports variés répondant à vos besoins : plateformes LMS, SSO, MOOC, vidéos interviews, mais aussi mises en situations, reportages, et motions design. Et enfin de la diversité dans les activités et l’animation des formations pour répondre aux types d’apprentissages avec notamment les nombreuses possibilités qu’offre le E-learning.

    En résumé, parce que l’apprenant est au cœur de votre dispositif de formation, la réussite de son expérience mérite la meilleure des expertises !